MALLE A POEMES

Les caresses des yeux sont les plus adorables ;
Elles apportent l'âme aux limites de l'être,
Et livrent des secrets autrement ineffables,
Dans lesquels seul le fond du coeur peut apparaître.
Les baisers les plus purs sont grossiers auprès d'elles ;
Leur langage est plus fort que toutes les paroles ;
Rien n'exprime que lui les choses immortelles
Qui passent par instants dans nos êtres frivoles.
Lorsque l'âge a vieilli la bouche et le sourire
Dont le pli lentement s'est comblé de tristesses,
Elles gardent encor leur limpide tendresse ;
Faites pour consoler, enivrer et séduire,
Elles ont les douceurs, les ardeurs et les charmes !
Et quelle autre caresse a traversé des larmes ?

Poéme pour mes Amis(es)



Qu'importe si dehors il fait froid ?
Il y a toute cette chaleur chez toi .

Qu'importe si dehor j'ai peur ?
Il y a toute la bonté humaine dans ton coeur.

Qu'importe si dehors je pleure ?
Il y a dans ton jardin tant de fleurs .

Qu'importe si dehors je suis épuisée ?
Il y a dans ton nid un endroit ou me reposer .

Le passé, le présent, le futur
Je t'offre ....
Une éponge pour effacer le passé,
Une rose pour adoucir le présent,
Et un baiser pour saluer le futur.


Dors avec les anges
Et rêves de moi,
Car un jour,
Tu dormiras avec moi,
Et tu rêveras des anges

Seule dans mon lit..
J'écoute le bruit de la pluie..
Je me dis que je t'aime..
Je veux que tu le comprennes..
Te le dire trop souvent..
Ca peut devenir saoulant ..
Mais je le pense tellement..
Je t'aime vraiment..
C'est pour ça que j'ai peur..
Que tu partes ailleurs..
De perdre le bonheur..
Puis sombrer dans le malheur..
Parce que tu ne seras plus là..
Je ne t'aurai plus près de moi..
Je ne sais pas comment te dire je t'aime..
Alors je t'écris ce poème..
En espérant que tu comprendras ..
A quels points je tiens à toi

Celui çi je le dédit a mon frére,Dug que j'adore

Dès que tu mets les pieds dans ma maison
Dès que t'arrives sur ma ligne d'horizon
Dans ma bulle,dans mon chez moi où tu rentres
Je t'ouvre ma porte ,je te tends la main
Je t'ouvre ma porte,je te donne ce qui m'appartient
Pour moi t'es plus qu'un frère t'es important
Pour moi t'es plus qu'un frère pour moi t'es grand
Mon sang c'est le tien,le tien c'est le mien
Ensemble d'hier à aujourd'hui ,d'aujourd'hui à demain
Tu vois moi je suis la droite qui essaie d'avancer
Et toi tu es la gauche pour équilibrer
Qualifiés d'inséparables, si tu pars je meurs
Qualifiés d'inséparables, si je pars tu pleures
J'inspire,t'expire,j'expire,t'inspire
Attendrons ensemble le dernier soupire

Aimé facile de le dire
Plus dur de le prouver
Aimé,tu serais pas partir
Tu nous serais resté
De ne plus entendre tes rires
Tout cela ma trop manqué
J'esperais revoir ton sourire
Et avec toi encore parler
Je ne sais plus quoi te dire
La vie nous a séparé
Et dans un dernier soupire
Que j'aimerai pouvoir te murmurer
Si je pouvais te faire revenir
Je veux bien le crier
Que dans mon coeur le souvenir
A jamais est gravé

Bonne fête les amours...

Ton sourire est mon soleil..
Ta tendresse est merveille...
Tu es la lumière qui m'illumine,
Une étoile qui me fascine...

Contre toi, je suis libérée...
Dans tes bras, j'aime m'envoler...
Avoir l'impression d'avoir des ailes,
La sensation de toucher le ciel...

Il y a eu des temps magiques,
Des instants romantiques...
Des périodes difficiles...
Des chagrins, des moments fragiles...

Mais voilà un petit bout de chemin,
Que nous avançons main dans la main...
Et pour la Saint Valentin, fête des amoureux,
Ma plume t'écrit ces mots heureux...

Jardinons notre amour avec tendresse...
Pour que notre relation jamais ne cesse...

Pour toi

Je t'ai connu un soir par hasard
Tu es entré dans mon coeur
Pour ne plus jamais sortir
Pourquoi ai-je cru a un amour impossible ??
C 'est peut etre parce que je t'aime vraiment
J'aimerai m'évader avec toi
Loin de tout,loin la bas
J'aimerai qu'on soit seul sur la terre
Pour qu'il y est plus de mystére
Ce serait toi et moi
Et rien que ça.......
J'aimerai vivre a tes coté
Et t'embrasser toute la journée
J'aimerai que tu maime
Autant que moi je t'aime
Et c'est écrit dans ce poéme
Quand tu n'es pas la
Tout s'écroule autour de moi
Mon coeur bat pour toi mon Amour
Mes pensées vont vers toi
Mes yeux ne voit que toi
Dans les lettres de ton nom
J'entend le mot "je t'aime "
Pour la vie ,toi et moi
Mon Amour

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure

Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine

Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure


Guillaume Apollinaire

Fuite d’un passé,
Pour enfin avancer,
Devoir sourire,
Et oublier de souffrir.
Rester ou partir,
Il faut peu être choisir,
Mais qu’importe si,
Vous me traitez de la sorte.
Amis ou Amour,
Tu le découvriras un jour,
Mais il est tard,
C’est l’heure d’un départ.
Sans destination,
En faisant des abstractions,
Aucune saveur,
Car j’ai plus mon cœur.

Offert ce matin par Alec

Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Je t ais voler un baiser
mes levre sur le tiennes j ais poser
je t ais voler un baiser c etais doux, c etais sucree
je t ais voler un baiser et j ais franchement aimer
je t ais voler un baiser
et ce baiser
crois moi je ne l oublierais jamais

Un jour un ange a dit :


Je ne veux plus rester sur cette terre

Là où ne reigne que la misère

Vous jouez avec les sentiments des gens qui vous aiment

Vous ne connaissez que haine et mensonge

Vous n'avez pas de respect pour la différence

Vous vous servez de vos semblables comme s'il sagissait de simples jouets


Vous n'écoutez pas, vous criez

Vous n'aimez pas, vous méprisez

Vous n'aidez pas, vous ordonnez

Vous ne connaissez pas la tolèrance

Vous pouvez toucher quelqu'un en plein coeur plus vite que vous ne cueuillez une fleur

Vous faites le mal pour mieux vous faire du bien

Vous ne tuez pas pour vous défendre mais par jeu ou par plaisir

Vous êtez plus à l'aise avec le malheur qu'avec le bonheur

Vous souriez quand en face de vous quelqu'un pleure


Je ne veux pas rester sur cette terre

Car je refuse de vivre comme cela


Un jour quelqu'un finira par me casser mes ailes

Et je resterai seul à souffir en silence tout en cherchant ma délivrance


Un jour un ange à dit.....

Et il est parti rejoindre son paradis

Partir, tu t'en doutes,
N'est jamais prendre une route
Mais se laisser porter par son destin
Le long de multiple chemins
Partir, n'est pas une destination
Mais un mot en avant
Qui n'entend pas son frère "Retour".

J'ai battu mon mari

Et ce, pour la première fois

Je suis absolument ravie

Cela m' a procuré beaucoup de joie

Pourquoi c'est toujours le contraire

Voilà pourquoi je suis si fière

J'ai enfin battu mon mari

Finalement j'ai réussi

Cela lui à fait très mal

D'être battu par une femme

C'était surtout son moral

Peut-être aussi dans son âme

Cela m'a fait tellement plaisir

Que j' espère le faire encore à l'avenir

Il à dit que les cartes l'ont trahi

Le poker...c'est moi qui l'ai réussi

Te voilà à présent un homme battu

sans séquelles, mais déçu

Parole entendu en taverne par messire Nooby

la vie est une hsitoire dont le destin tourne les pages

C'est vrai, c'est un peu c on la vie,
Surtout quand un jour ça s'arrête,
Que tu vois le panneau sortie
Quand t'étais en plein dans la fête.

Quand à la place des pétards
Des flonflons, des barbes à papa
Tu dois rédiger ton faire-part
Prendre un billet pour l'au-delà.

Là, tu commences à t'affoler,
Ca se bouscule au portillon,
T'avais pas fini de rèver
Tu dois t'endormir pour de bon.

Et voilà qu' en plus, de la veille,
Tu n'es ni rasé ni lavé
Et qu'en triste état t'appareilles
Pour ton vol vers l'éternité.

Alors là, tu te sens gaulois,
Le ciel te tombe sur la face,
Mais la faucheuse montre du doigt,
Tu peux pas refiler ta place.

Tu as beau fair' c'est la panique,
Tu sais plus sur quel pied tu danses,
Toi qui'étais bon en gymnastique,
Tu peux plus garder la cadence

Puis, tu repenses à tes amis
Pas au courant de ton voyage,
Ca va t'faire rater ta sortie
Et y'aura pas de rattrapage.

C'est vrai, c'est un peu c on la vie,
Surtout quand un jour ça s'arrête,
Que tu vois le panneau sortie
Quand t'étais en plein dans la fête.

Je m’ennuie, je m’ennuie
Que pourrais-je bien faire ?

J’ai lavé les poulets
Caressé le gazon
J’ai tondu les carreaux
Et j’ai plumé le chat

Arrosé les oiseaux
Rangé tous les poissons
J’ai nourri les outils
Et nettoyé les fleurs

Que reste-t-il à faire ?
Je m’ennuie !!

LUNDI
Femme-enfant tu me veux !
M'habiller, me déshabiller.
Tu veux jouer, je suis ta poupée.

MARDI
Femme-maitresse tu me veux !
Fais tes devoirs, j'ai tous les pouvoirs.
Tu veux jouer, je vais dominer !

MERCREDI
Femme infirmière tu me veux !
L'uniforme, un fantasme.
Tu veux jouer, je vais te soigner !

JEUDI
Femme de ménage, tu me veux !
Soumise, en soubrette je serai.
Tu veux jouer, tu vas dominer !

VENDREDI
Femme d'affaire tu me veux !
Employé tu seras.
Tu veux jouer, je vais diriger !

SAMEDI
Femme gendarme tu me veux !
Contrôlé, tu seras arrêté.
Tu veux jouer, je vais te menotter !

DIMANCHE
Jour du seigneur…
Désolée, fatiguée, je dois me reposer !
Je peux vraiment pas jouer !

Maitresse Lily sur sa bêche appuyée
Avait bien chaud sous son corsage.
Maitre Don-Juan par ses attraits alléché
Lui tenait un charmant langage.
Quel beau jour Madame Lily !
Que vous êtes attirante, que vous êtes jolie !
Sans mentir, si votre jardin
Ressemble à la rondeur de votre sein,
Vous êtes la reine de toutes les jardinières !
A ces mots Lily ne se sent pas peu fière
Mais devine rapidement
Le but caché de tous ces compliments.
Elle saisit l’instant pour s’amuser un peu.
Hélas, lui dit-elle d’un air attristé,
Je crains de ne pouvoir remédier à votre paysage,
Vous me semblez bien trop en friche !
La taille de votre chevelure est bâclée,
Votre dentition nécessite un tuteurage
Et votre peau souffre d’un manque d’arrosage.
Votre haleine trahit un mauvais dosage d’engrais,
Vos jambes ont subis les vents dominants
Et le mildiou s’installe sur vos mains.
Don-Juan pressentant sa mauvaise fortune,
Renonce à ses projets de romance sous la lune,
Esquisse un sourire vaillant et tourne les talons.
Pour flatter une pouliche, mieux vaux être bel étalon

au restaurant des spécialités
d'un coup elle s'est envolée
puis sur mon cou a glissé
elle a fini sa course éfreinée
dans mon petit décolleté
entre ma peau intimidée
et mon soutien gorge doré
c'est ainsi que c'est arrivé
à diner elle s'est invitée
pour se faire un peu dorloter
et là voilà qui s'est nichée
bien contre ma sensualité
je m'apprêtais à la croquer
alors elle s'est sauvée
et me voilà bien embêtée
car mon voisin d'à côté
ne fait que me lorgner
il me regarde très intrigué
et me sourit très amusé
rien ne lui a échappé
de la magistrale envolée
alors il me vient une idée
dans la vie il faut oser
je fais mine de relacer
le ruban de mon décolleté
et finis par débusquer
la petite naufragée
l'olive cassée au goût fruité
dont je me suis régalée
car vous l'aurez bien deviné
l'olive s'est laissé attraper

Avis de recherche

Aidez moi j'ai perdu
Vous savez, ce truc jaune qui émerveille !
mais si !! cherchez bien dans vos mémoires..
Vous avez bien du l’apercevoir !!!
Un truc qui se balade dans le ciel
Qui se lève à l'est...
Habituellement...
Pour se reposer à l'ouest...
Quand il a le temps...
Un truc qui fait sortir les jupettes !
Qui rend guilleret tous les passants !
Un truc qui invite en terrasse,
pour que l'on s'y prélasse...
Avis de recherche lancé!!!
Forte récompense donnée !!!
trouvez-moi vite le soleil
En retour, moi je ferai des ritournelles !
Et en plus plein de baisers